Présentation :
J’suis à un stade de ma vie où j’suis coincée... au sens propre comme au figuré...
« Oui ». Un seul mot, dans un souffle, dans un murmure, dans un cri d’hystérie, à prononcer pour ensuite se voir passer la bague au doigt. J’étais en pleins préparatifs de mariage et Dieu sait que mon excitation avait atteint un tel engouement, que je me faisais peur à moi-même. Nous étions seulement à un mois du jour J, et je ne savais déjà plus où donner de la tête. Il fallait choisir la robe de mariée, le menu dont le gâteau, la décoration, les fleurs, le DJ, finir la liste des invités, prier pour que ma mère ne me fasse honte, ne pas délaisser Benjamin, être performante au travail, dormir... et manger. Beaucoup trop de choses à gérer, c’est pourquoi j’avais chargé des professionnels d’organiser mon mariage de A à Z. La boîte d’organisation d’événementiels m’avait été fortement recommandée par une collègue. La jeune femme que j’avais rencontrée m’avait toujours souri sans jamais ouvrir de grands yeux lorsque je lui avais montré avec un enthousiasme débordant, une diapo faite par moi-même du mariage de mes rêves. Elle avait simplement conclu l’entretien par un : « ne vous inquiétez pas, ce sera le plus beau jour de votre vie » (j’espère bien pour 1 000 000 d’euros). Nous étions lundi, et j’avais attendu ce lundi avec une telle envie que je n’avais pas réussi à dormir. J’avais rendez-vous avec Angel Sanchez, le styliste qui avait dessiné deux mois auparavant ma robe de mariée et qui allait aujourd’hui, me la faire essayer. Tony m’avait accompagnée et montrait lui aussi une hystérie contagieuse.
— Alors tu es excitée ?
— Tout autant que toi ! m’écriai-je en poussant la porte de la boutique.
— J’ai envie de pisser tellement j’suis euphorique !
— Moi aussi !
— Ouais bah essaye de te retenir quand tu essayeras ta robe !
Angel était un homme d’une quarantaine d’années au crâne chauve et à la peau mate (aidée par les séances d’UV). Nous nous étions rencontrés aux États-Unis lors d’un de ses défilés et j’avais craqué sur une robe de laquelle il s’était inspiré pour faire la mienne « selon ma personnalité » ; en contrepartie, et surtout pour faire baisser le prix de son œuvre d’art, j’avais réalisé un article entièrement consacré à son talent. Pour l’occasion il avait fermé la boutique et il avait sorti une bouteille de Champagne. Ma robe m’attendait cachée sous une bâche sur un mannequin inanimé, sur un podium, en plein centre de la pièce.
« Oui ». Un seul mot, dans un souffle, dans un murmure, dans un cri d’hystérie, à prononcer pour ensuite se voir passer la bague au doigt. J’étais en pleins préparatifs de mariage et Dieu sait que mon excitation avait atteint un tel engouement, que je me faisais peur à moi-même. Nous étions seulement à un mois du jour J, et je ne savais déjà plus où donner de la tête. Il fallait choisir la robe de mariée, le menu dont le gâteau, la décoration, les fleurs, le DJ, finir la liste des invités, prier pour que ma mère ne me fasse honte, ne pas délaisser Benjamin, être performante au travail, dormir... et manger. Beaucoup trop de choses à gérer, c’est pourquoi j’avais chargé des professionnels d’organiser mon mariage de A à Z. La boîte d’organisation d’événementiels m’avait été fortement recommandée par une collègue. La jeune femme que j’avais rencontrée m’avait toujours souri sans jamais ouvrir de grands yeux lorsque je lui avais montré avec un enthousiasme débordant, une diapo faite par moi-même du mariage de mes rêves. Elle avait simplement conclu l’entretien par un : « ne vous inquiétez pas, ce sera le plus beau jour de votre vie » (j’espère bien pour 1 000 000 d’euros). Nous étions lundi, et j’avais attendu ce lundi avec une telle envie que je n’avais pas réussi à dormir. J’avais rendez-vous avec Angel Sanchez, le styliste qui avait dessiné deux mois auparavant ma robe de mariée et qui allait aujourd’hui, me la faire essayer. Tony m’avait accompagnée et montrait lui aussi une hystérie contagieuse.
— Alors tu es excitée ?
— Tout autant que toi ! m’écriai-je en poussant la porte de la boutique.
— J’ai envie de pisser tellement j’suis euphorique !
— Moi aussi !
— Ouais bah essaye de te retenir quand tu essayeras ta robe !
Angel était un homme d’une quarantaine d’années au crâne chauve et à la peau mate (aidée par les séances d’UV). Nous nous étions rencontrés aux États-Unis lors d’un de ses défilés et j’avais craqué sur une robe de laquelle il s’était inspiré pour faire la mienne « selon ma personnalité » ; en contrepartie, et surtout pour faire baisser le prix de son œuvre d’art, j’avais réalisé un article entièrement consacré à son talent. Pour l’occasion il avait fermé la boutique et il avait sorti une bouteille de Champagne. Ma robe m’attendait cachée sous une bâche sur un mannequin inanimé, sur un podium, en plein centre de la pièce.
Mon avis :
Je remercie, Edilivre pour cette lecture.
Le troisième volume de cette saga, qui jusqu’à présent m’avait bien plu.
Mais là, que dire sinon que nous retrouvons April sur le point de se marier avec Benjamin.
Mais comme le meilleur ami d’April, Tony, se mari et qu’il est le frère de Sébastien l’ex d’April.
Leurs retrouvailles vont mettre April dans une drôle de situation.
April est en proie en une perte de repère sentimental, elle ne sait plus qui elle aime et nous sommes alors dans une sorte de série télé à la « je t’aime, mais non c’est toi, à non plus lui, mais lui »
Bref, je me suis ennuyé dans ma lecture même s’il y a des passages plus ou moins cocasses qui nous font rire.
April, je lui aurais mis des baffes et son meilleur ami gay : Tony et bien les deux sont à mettre sur un ring pour qu’ils se collent un bonne fois pour toute une raclé et qu’ils arrêtent leurs jérémiades.
Je pense que l’auteur a voulu faire le tome de trop de cette saga, pour ma part j’aurais rallongé le tome 2 pour finir en beauté !
Lien de commande : Amazon
Ma note : 3/5
Mais comme le meilleur ami d’April, Tony, se mari et qu’il est le frère de Sébastien l’ex d’April.
Leurs retrouvailles vont mettre April dans une drôle de situation.
April est en proie en une perte de repère sentimental, elle ne sait plus qui elle aime et nous sommes alors dans une sorte de série télé à la « je t’aime, mais non c’est toi, à non plus lui, mais lui »
Bref, je me suis ennuyé dans ma lecture même s’il y a des passages plus ou moins cocasses qui nous font rire.
April, je lui aurais mis des baffes et son meilleur ami gay : Tony et bien les deux sont à mettre sur un ring pour qu’ils se collent un bonne fois pour toute une raclé et qu’ils arrêtent leurs jérémiades.
Je pense que l’auteur a voulu faire le tome de trop de cette saga, pour ma part j’aurais rallongé le tome 2 pour finir en beauté !
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Ma note : 3/5
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