samedi 16 décembre 2017

La mort en douce de Marie-Christine Piatti


Présentation :

» C’est une question vitale. Le service est très encombré à cette époque de l’année, alors soyez ponctuels », avait insisté l’interne. Cet avertissement, aussi banal qu’indélicat, résonne dans la tête de Jacinthe en ce matin d’hiver. Bien sûr qu’ils seront à l’heure pour l’intervention ! Cinq ans déjà qu’ils attendent ce moment. Une lourde opération. Inévitable. Est-elle pour autant suffisamment préparée ? Lui, sans doute. Mais, elle ? Et la neige qui commence à recouvrir les rues... Elle n’a pas dormi. Elle revit les deux derniers mois qui viennent de s’écouler et qu’ils ont affrontés ensemble. Après tout ce qui vient d’arriver, supportera-t-elle un autre choc, sa réserve émotionnelle n’est-elle pas trop fragilisée ? Avec les conversations croisées qu’échangent les quatre acteurs de ce huis clos, c’est à une patiente quête identitaire que l’on est convié. Bien que l’effroi ne soit pas étranger à cette histoire, l’on aura aussi beaucoup souri aux propos débridés de ces personnalités hors du commun. Existe-t-il vraiment des marqueurs d’humanité ? 
Mon avis : 
Je remercie, les éditions Baudelaire pour cette lecture.

Cette histoire est un huis clos entre quatre personnages.
Nous nous retrouvons là, au milieu de cela à essayer de décrypter cette histoire.
Oui vous l’aurez compris pour moi, je n’ai pas accroché à l’histoire même en m’y reprenant à 5 ou 6 fois.
Un livre bourré d’ironie qui je vous l’avoue m’ont déstabilisé, il y a des fois, soit ça passe soit ça casse.
Pour moi désolé malgré ma bonne volonté, je n’ai pas pu finir cet ouvrage.
Mais je vous laisse vous faire votre propre idée, moi le résumé ma toucher, mais au moment de lire, je n’ai pas retrouvé l’exaltation que le résumé avait fait naître en moi.
Pour moi la couverture est un plus, malgré le trop-plein de blanc, l’image de la plume se transformant en oiseaux est une merveille.
Lien de commande : 

 Ma note : 2/5

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire